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1.
G. Banos 《Solar physics》1967,1(3-4):397-410
Sommaire Une éruption d'importance 2 a été observée le 4 octobre 1965 à l'aide de l'héliographe à longueur d'onde variable de l'Observatoire de Meudon, qui fournit des images au centre et dans les ailes de la raie H. On étudie les phénomènes enregistrés en H, en relation avec les observations radioélectriques et le champ magnétique longitudinal de la région active associée.  相似文献   

2.
Résumé Après avoir écrit le système d'équations de la magnétohydrodynamique régissant le transport du champ magnétique avecla matière nébulaire, nous montrons, sous des hypothèses simples, que sa résolution conduit naturellement à la présence d'un champ magnétique 10–3–10–4 G au sein du gaz nébulaire, le champ au voisinage de l'étoile centrale étant supposé de l'ordre de Gauss. La conditionH 2/8nkT étant vérifiée dans la nébuleuse, le champ peut alors faire appraître des structures typiquement magnétiques telles que dans NGC 650-1, NGC 7293, etc ....
On the existence of the magnetic field in planetary nebulae
The resolution of a set of magnetohydrodynamic equations governing the ejected matter, under some simple assumptions, lead to the existence of a magnetic field about 10–3–10–4 G within the shell of planetary nebulae. The stellar magnetic field, at the time of ejection, is supposed equal to 1 G. The conditionH 2/8nkT is then satisfied in most of planetary nebulae showing magnetic features such as NGC 650-1, NG 7293, etc ....
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3.
Résumé On donne une représentation possible de l'attitude d'un satellite aimanté dans le champ magnétique terrestre. Le moment magnétique du satellite est de l'ordre de 10 amp m2 et la rotation du satellite est voisine de 1 tour/mn. Dans ces conditions, le couple magnétique agissant sur le satellite ne peut plus être considéré comme un couple perturbateur.Dans la mesure où l'on peut admettre que l'axe de rotation du satellite, est fixe dans un repère lié au corps, on est conduit à résoudre un système d'équations différentielles linéaires à coefficients périodiques. Les coefficients contenant le temps ont en facteur une quantité 0<<1/3. On peut développer la solution suivant les puissances de les coefficients de ces développements sont donnés par des formules de récurrence. Les séries convergent en général; au voisinage des points singuliers le rayon de convergence peut être étudié.L'hypothése ci-dessus conduit à une représentation convenable de l'attitude du satellite lorsque la rotationr 0 n'est pas trop faible. Avec la valeur adoptée pour le moment magnétique, la valeur minimum de la rotationr 0 est de l'ordre de 0.8 t/mn.
A possible representation of the motion of a satellite about its centre of mass is investigated. The satellite's magnetic moment is of the order of 10 Amp m2 and its spin is about 1 rpm. Under these conditions, the magnetic torque acting on the, satellite can no longer be treated as simple perturbation.In the case where the axis of the satellite's rotation is assumed to be a constant in a system of axes fixed to the satellite, a system, of linear differential equations with periodic coefficients has to be solved. The time dependant coefficients have the small parameter 0<<1/3 as factor. The solution is expanded in power series of the parameter . The coefficients of these, series are given by recurrent formulas. The series generally do converge; in the vicinity of the singular points, the radius of convergence can be studied. The given hypothesis leads to a reasonable representation of the satellite's motion if its rotationr 0 is not too slow. With the adopted value for the magnetic moment, the minimum value ofr 0 is of the order of 0.8 rpm.
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4.
Résumé On étudie l'effet du champ magnétique terrestre sur le mouvement d'un satellite autour de son centre de gravité. Le satellite possède une symétrie dynamique et un moment magnétique propre dirigé suivant l'un des axes principaux d'inertie; le champ magnétique terrestre est assimilé au champ d'un dipôle dont les pôles coïncident avec les pôles terrestres. On néglige les perturbations de la trajectoire du satellite qui est supposée circulaire. La position du satellite par rapport à son centre de gravité est repérée dans un système d'axes lié au plan de l'orbite et le mouvement est décrit à l'aide des angles d'Euler , , . La symétrie sphérique et le choix du moment magnétique sur l'un des axes d'inertie permettent d'éliminer l'angle .La solution pour et peut se développer en séries de puissance d'un petit paramètre . Les séries convergent pour ||<1.Lorsque le moment magnétique est faible on la rotation du satellite rapide, est faible. Les développements sont calculés effectivement jusqu'à 2.La comparaison des résultats avec l'intégration numérique du système d'équations différentielles est satisfaisante.
The effect of the Earth's magnetic field on the motion of a satellite around its centre of mass is investigated. The satellite is assumed to be dynamically symmetric and to be magnetized in the same direction as that of a principal axis. The Earth's magnetic field is assumed to be a dipole field whose poles coincide with the rotation poles of the Earth. The satellite's orbit is circular and perturbations are neglected. The position of the satellite with respect to its centre of mass is given with respect to a coordinate system fixed in the orbital plane and the motion is described by Euler's angles , , . The spherical symmetry and the coincidence of the magnetic moment with a principal axis allow one to eliminate the angle .The solution for and , can be expanded in power series for small parameter .The series converge for <1. is small for a small magnetic moment or a high angular velocity of the rotating satellite. The terms of the expansion of the series are calculated up to 2.The comparison of the results with those obtained by numerical integration of the differential equation is satisfactory.
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5.
Sommaire Nous considérons ici le problème du changement d'unités en physique au moyen de la théorie des groupes. Nous proposons une définition du changement d'unités fondée sur l'existence de trajectoires de groupe dans la variété. Les applications de cette méthode permettent de comprendre pourquoi les systèmes d'unités gravitationnel et atomique, bien que calqués sur le même modèle, restent cependant indépendants. Le mélange de plusieurs systèmes d'unités, comme par exemple l'interprétation de résultats optiques au moyen de mesures atomiques, conduit à l'échelle cosmologique à des décalages spectraux, et pourrait être à l'origine de certains décalages spectraux anormaux. L'utilisation des espaces de Weyl intégrables apparaît comme naturelle dans cette théorie: les coefficients j de la forme linéaire fondamentale qui définit ces espaces résultent du groupe d'invariance considéré. Le choix du lagrangien apparaît comme un choix d'unités et permet de comprendre comment une constante, universelle dans un système d'unités, peut devenir fonction du temps par exemple dans un autre système.  相似文献   

6.
Résumé Il est envisagé dans ce travail le problème du mouvement translatoire-rotatoire d'un corps solide invariable dans le champ centrale de la gravitation Newtonienne. Il est établie auparavaat la forme générale du développement de la fonction des forces du problème et il est marqué ses propriétés remarquables. Nous abordons ensuite l'étude des mouvements, nommés reguliers, dans lesquels le centre des masses du corps décrit une orbite circulaire Keplerienne, tandis que le corps lui-même conserve une orientation invariable par rapport à cette orbite.Il est démontré, que ces mouvements peut admettre seulement le corps possedant la symétrie axiale dynamique. Nous distinguons les trois types différents des mouvements réguliers, dont nous nommons par flotte, flèche et rais.Il existenr encore quelques cas intermédiaires.  相似文献   

7.
Résumé Jusqu'à présent, le champ magnétique dans les nébuleuses planétaires n'a été l'objet que de quelques rares études assez sommaires (Terzian, 1982) et son origine reste confuse.Des modèles ont été construits, mais la liaison entre le champ magnétique de l'étoile centrale et celui qui est, semble-t-il, associé à la nébuleuse n'est pas claire (Gurzadyan, 1970). Cependant, nous montrons ici qu'un lien direct peut être établi en considérant le transport des lignes du champ magnétique stellaire par la matière qui a été éjectée de l'étoile centrale.Ainsi, connaissant l'ordre de grandeur du champ magnétique régnant au voisinage de la nébuleuse, on peut en déduire une valeur approximative au voisinage de l'étoile ou inversement.
A model of fossil magnetic field within planetary nebulae shells
Up to now, only a few studies have been made of the magnetic field in Planetary Nebulae (Terzian, 1982) The existence of such a field is suggested by the typical structure of some nebulae (NGC 650-1, NGC 7293, etc.). However, its origin remains unknown, although some models have been built (Gurzadyan, 1970). The connection between the magnetic field of the central star and the nebular shell is not yet elucidated. The aim of this paper is to point out a possible removal magnetic field line within the ejected shell. Such a field is able to maintain a relative stability of secondary structures in planetary nebulae (Louise, 1981, 1982).
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8.
Résumé La transformation de Lyapunov transforme une équation de Hill en une autre qui occupe la même place dans la classification de Yakubovich.Soit (C) une solution périodique d'un système conservatif à deux degrés de liberté. D'après le principe de moindre action de Maupertuis (C) est l'image d'une géodésique ().Nous montrons que les équations aux variations au voisinage de (C) et de () sont réductibles à deux équations de Hill qui se correspondent par une transformation de Lyapunov.
The Lyapunov transformation of Hill's equation and his dynamic interpretation
The Lyapunov transformation carries Hill's equationÿ+F(t)y=0,F(t+T)=F(t) into another one which belongs to the same class in Yakubovich's classification.Let (C) be a closed trajectory of a Lagrangian conservative system with two degrees of freedom. By the Principle of Least action, we know that (C) is the image of a geodesic () of a certain two-dimensional surface ().We show that the two Hill equations associated with (C) and () are related by a certain Lyapunov transformation.


Paper presented at the 1981 Oberwolfach Conference on Mathematical Methods in Celestial Mechanics.  相似文献   

9.
Résumé Huit photographies monochromatiques (=2000 Å) au bord du soleil sont analysées en vue de mettre en évidence la granulation dans le domaine ultra-violet lointain. La fenêtre spectrale est définie par deux filtres interférentiels qui donnent une bande passante à mi-hauteur de 125 Å. Ces clichés de haute résolution ont été obtenus en ballon stratosphérique à une altitude de 30 500 m en profitant d'une fenêtre de transparence atmosphérique et en utilisant un télescope Cassegrain de 20 cm d'ouverture dont la résolution atteint 1. Ce télescope était porté par un dispositif pointeur de soleil dont la stabilité à court terme était meilleure que 2. Les clichés ont été pris à intervalles de 210 secondes avec un temps de pose de 0.25 seconde. On observe d'une part des variations de brillance grossières de largeur comprise entre 10 et 20 qui sont interprétées comme microfacules chromosphériques de durée de vie supérieure à 1/2 heure. On observe d'autre part une granulation dont la distribution densitométrique pour laquelle on a calculé les fonctions de corrélation et de structure présente une corrélation limitée à une distance angulaire de 4.
Summary Eight ultra-violet monochromatic pictures at the limb of the sun are analyzed for evidence of granulation in this spectral range ( = 2000 Å). The spectral window (125 Å) is defined by two interference filters. These high-resolution pictures were obtained with a 20 cm Cassegrain telescope carried at 30 500 m of altitude by a stratospheric balloon. The resolution of the telescope is 1. The instrument is mounted on a sunpointing control of excellent short time stability (2). The pictures were taken at intervals of 210 seconds with a 0.25 second exposure. Large brilliant irregularities 10 to 20 in diameter are interpreted as chromospheric microfaculae with a half-hour lifetime. On the other hand, the smaller irregularities are interpreted as ultra-violet granulation. Using the correlation and structure functions, the analysis of the density distribution shows that spatial correlation of these irregularities is limited to a 4 range.
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10.
Sommaire L'auteur se propose d'établir une formulation générale non relativiste des décalages spectraux à partir d'une méthode variationnelle.Le premier pas consiste à établir pour l'espace euclidien 3 une formulation duale de l'effet Doppler-Fizeau et à montrer que celle-ci peut s'interpréter comme un principe de moindre action. Nous faisons ressortir dans ce cas les hypothèses utilisées: isotropie de l'espace et uniformité du temps appliquées à un système lagrangien. Une telle façon d'opérer nécessite l'utilisation du groupe d'isométries de 3, la comparaison des trajectoires naturelle et variée ne pouvant s'effectuer qu'au voisinage de l'observateur. Dans le cas où le groupe d'isométries de 3 ne peut être utilisé, il y a surestimation systématique des décalages spectraux observés.La seconde étape est d'assimiler l'espace physique à une variété riemannienneV 3 et à montrer que le temps peut être défini à partir des géodésiques de cette variété. Cela est possible en assimilant. pour un observateur donné, les surfaces isochrones (t) à une variété quotientV 2 telle queV 3 =V 2 ×R. Cela implique l'existence de trajectoiresnon naturelles passant par deux points donnés deV 3, de longueurs plus petites que celles des géodésiques riemanniennes correspondantes. D'où l'existence d'un temps propre local, mesuré le long des géodésiques, variable d'un point à l'autre selon les différences de symétries de l'espace au voisinage de ces points.Nous pouvons alors considérer dans un troisième temps l'espace physique comme un système lagrangien nanti de temps propres uniformes et tels que l'on passe du lagrangienG, définissant les conditions de symétries de la variétéV 3, au lagrangien local G par une transformation conforme. Si l'on suppose que la fonction de transformationF(x,t) varie très lentement avec x ett, on est conduit à une relation entre les temps propres de deux points quelconques deV 3.L'application d'un principe de moindre action, avec ces hypothèses permet alors une formulation non relativiste des décalages spectraux, contenant à la fois l'effet Doppler-Fizeau, un effet gravitationnel et un effet cosmologique. On peut alors considérer l'effet Doppler-Fizeau comme résultant d'un principe de Fermat généralisé.
The aim of the author has been to establish a non-relativistic general formulation for the shift of spectral lines by means of a variational method.As a first step, we establish a dual formulation of the Doppler-Fizeau effect for Euclidean space 3, and we show this can be interpreted as a principle of least action. In this case, the hypothesis can be clearly exhibited: isotropy of space and uniformity of time applied toaa Lagrangian system. The use of the isometries group of 3 is required, since the comparison with the fiducial trajectory can be done only near the observer. A systematic overvaluation appears when incorrect use of this groups is made.The second step consists of an identification of the physical space with a Riemannian manifoldV 3. The time can be defined by means of geodesics ofV 3. This can be done by taking an isochronic surface (t) as aV 2 quotient manifold such asV 3 =V 2 ×R. This implies the existence ofnonnatural trajectories of less extent than the corresponding geodesics. From that, we deduce the existence of a local proper time, measured along geodesics, which depends on the local conditions of symmetry.In a third step, we can consider the physical space as a Lagrangian system with uniform proper time allowing us to proceed from LagrangianG, describing the symmetry conditions of theV 3 manifold, to a local Lagrangian G by means of a conformal transformation. If the transformation functionF(x,t) is supposed to be slowly variable with x andt, a relation between the proper times of any two points in the manifold can be found.With this hypothesis, the application of the principle of stationary action leads to a nonrelativistic formulation for shifts of spectral lines including, at the same time, the Doppler-Fizeau effect, the gravitational effect, and the cosmological effect. In this case, we can consider the Doppler-Fizeau effect as the result of a generalised Fermat principle.
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11.
Y. Cuny 《Solar physics》1968,3(1):204-240
R'esumé Les raies et le rayonnement continu de l'hydrogène sont calculés, dans le cas solaire, en tenant compte des écarts à l'équilibre thermodynamique local.La comparaison des résultats, interprétés par la théorie de la formation des raies de Jefferies et Thomas, avec les observations donne des renseignements sur le modèle de l'atmosphère solaire.L'énergie émise par Ly dépend très fortement de la densité électronique. Seuls les modèles á palier de température dans la haute chromosphère donnent un profil de Ly à dépression centrale.La raie H, qui est contrôlée essentiellement pour les photoionisations dépend surtout du modèle de photosphère; toutefois les modèles de chromosphère à fortes température et densité électroniques ont une influence sur le profil de H.
Summary The continuous and line spectrum of hydrogen emitted by the sun is computed, taking deviations of local thermal equilibrium into account. The theory of line formation as given by Jefferies and Thomas has been applied to the computations; a comparison of these results with the observations gives information on the solar atmospheric model.The energy emitted by Lyman has been computed for a two- and three-level atom: it appears to increase slightly with the number of levels. The energies, computed with the HAO model and the model of Coates, are larger than the observed values. The core of the Lyman profile is determined by collisions; the peaks are formed at a height where the electron temperature is about 20 000 °K; the energy depends very strongly on the electron density of the model.It is shown that the profile of Lyman only shows a central self reversal if the model of the high chromosphere has a temperature plateau.An interpretation of the observed distance of the peaks of the Lyman and Lyman line profiles is possible; it can also be shown why the distance of the Lyman peaks to the line centre is always of the order of 0.2 Å.The residual central intensity of H increases slightly with the number of atomic levels; the value computed with a five level atom, with the HAO chromospheric model, and the Utrecht photospheric model (1964) does not differ very much from the observed value: it is slightly smaller than the observed value and the computed profile is narrower than the observed profile.In the case of the HAO model the source function of H is dominated by the photo-ionization terms; nevertheless, the collision terms are not much smaller than the photo-ionization terms; the residual central intensity of H computed with a chromospheric model similar to the interspicular model of Athay and Thomas but assuming a higher electron temperature and density is larger than the observed value.
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12.
The International Atomic Time TAI is a physically realized time scale which is ultimately used for comparisons between observations and dynamical theories. Its definition should tell unambiguously what an ideal TAI should be. For terrestrial applications, TAI has been defined as a geocentric coordinate time. In Solar System Dynamics, a barycentric coordinate time is needed. In general, it is not possible to convert a coordinate time into another coordinate time. But a specific clock synchronized on TAI in the terrestrial system can be considered as reading a modified, proper time [TAI]i, which can be converted into a barycentric coordinate time. In this conversion appears a small location dependent term. By this process all the clocks of the TAI system give an unique barycentric time with the same metrological properties as TAI.
Résumé Le Temps Atomique International TAI est une échelle de temps physiquement réalisée qui est utilisée pour la comparaison entre les observations et les théories dynamiques. Sa définition doit exprimer sans ambiguïté ce que devrait être un TAI idéal. Pour les applications terrestres, TAI a été défini comme un temps-coordonnée géocentrique. Pour la dynamique du système solaire, on a besoin d'un tempscoordonnée barycentrique. En général, il n'est pas possible de convertir un temps-coordonnée en un autre temps-coordonnée. Mais une horloge particulière synchronisée sur le TAI dans le système terrestre peut être considérée comme marquant un temps-propre modifié [TAI]i: on peut alors convertir ce temps propre en un temps-coordonnée barycentrique. Dans cette conversion apparaît un terme petit dépendant de l'emplacement de l'horloge sur la Terre. Par ce procédé, toutes les horloges du système du TAI conduisent à un temps-coordonnée barycentrique unique qui bénéficie des mêmes propriété métrologiques que le TAI.
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13.
A simplified model of the planar Three-Body Problem is considered in which two particles, forming a close binary, orbit a distant point. A small parameter , related to the distance separating the binary and the remaining mass is defined. The time is eliminated from the equations of motion and an angular variable is used instead. A two-variable expansion procedure is used to find an asymptotic solution. The solution obtained is known completely up to the order ten in , and it is valid for almost arbitrary initial conditions. Specification of the initial conditions leads to a solution which is periodic with respect to a modified time variable.
Résumé On considère un modèle simplifé du Problème Plan des Trois Corps, dans lequel deux particules, formant une binaire proche, sont en orbite par rapport à un troisième point éloigné des deux autres. On définit un petit paramètre , lié à la distance séparant la binaire de la particule restante. On élimine le temps des équations du mouvement et on utilise une variable angulaire comme nouvelle variable indépendante. Une méthode de développement à deux échelles est utilisée permettant d'obtenir une solution asymptotique du problème. La solution obtenue est connue complètement jusqu'àl'ordre dix en , et elle est valable pour des conditions initiales très générales. Pour des conditions initiales bien déterminées, on obtient une solution périodique par rapport à une nouvelle variable temporelle.
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14.
Resume On étudie les solutions périodiques d'un système Hamiltonien au voisinage des résonances i/j Ni et Nj sont des nombres entiers premiers entre eux.Dans le cas ou l'hamiltonien à la forme H=H0+H1, une procédure générale est donnée pour trouver les familles de solutions périodiques. Le développement asymptotique de la solution peut être calculé explicitement. L'étude de la stabilité est traitée (Stellmacher, 1984).Une application aux problèmes de dynamique galactique pour un système à trois degrés de liberté est faite pour le voisinage de la résonance 221.
Hamiltonian systems in the neighbourhood of an equilibrium solution. I:Periodic orbits in cases of resonance
We study the periodic solutions of an Hamiltonian system with n degrees of freedom, near an equilibrium point, in the vicinity of the resonances i/jNi/Nj. Ni/Nj are fractions in their lowest terms for any pair (i, j).In this case, a general procedure to find the families of periodic solutions is given. The asymptotic solutions can explicitly be calculated including the periods. (The stability will be presented in Stellmacher (1984).) An application to a galactic dynamics problem in a system with three degrees of freedom near the resonances 221, is analytically treated in detail.
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15.
Résumé On considère souvent que le milieu coronal est en équilibre hydrostatique si bien que l'étude de la distribution verticale de la matière est censée donner une bonne estimation de la température coronale (Billings, 1966). De fait, le gradient vertical de densité observé dans la basse couronne (altitudes inférieures à 300 000 km) où l'effet du vent solaire est peu important conduit à une température hydrostatique de 1 500 000 K en moyenne, en assez bon accord avec les déterminations fondées sur l'étude du rayonnement radioélectrique et sur celle de l'ionisation. Il semblerait néanmoins souhaitable de chercher à préciser cette concordance moyenne en comparant dans le détail les variations de la température coronale et celles du gradient vertical de densité pour voir si l'hypothèse de l'équilibre hydrostatique est partout vérifiée.Cette comparaison ne peut être tentée qu'à partir d'un jeu d'observations suffisamment variées pour que l'on puisse déterminer de façon indépendante la densité et la température dans une même région de la couronne: un tel matériel est disponible grâce aux observations coronales effectuées entre 1967 et 1969 à l'Observatoire du Pic du Midi, qui comportent notamment, pour 81 journées d'observations, (a) la mesure de l'intensité des raies 5303 Å et 6374 Å, à 1 du bord, tous les 5° autour du Soleil (b) la mesure de la brillance de la couronne K pour les mêmes angles de position, à 15 et à 5 du bord. Sans discuter ici des caractéristiques propres à ces deux catégories d'observations, qui ont déjà été décrites dans d'autres publications, nous allons chercher dans ce travail à les utiliser pour mettre à l'épreuve la validité de l'hypothèse de l'équilibre hydrostatique dans la basse couronne.
The observations performed at the Pic du Midi Observatory with a K-coronameter at different altitudes above the solar limb allow us to compute the vertical density gradient of the corona, therefore giving the value of the hydrostatic temperature T h computed under the assumption of hydrostatic equilibrium in the lower corona. We compare T h with the ratio r = I 5303/I 6374 of the intensities of the green and the red coronal lines observed at the same position angle and on the same day: r is expected to yield the proportion of cold regions and hot regions along the line of sight under study. As a matter of fact no relation appears between individual values of T h and r nor between averaged values of T h and r (Figure 1). In a second step we compute the 5303 Å emission which should be observed, for selected position angles where 6374 Å emissions are faint, making use of the electron density values which can be deduced from the K corona observations. The ratio q = (I 5303) obs/(I 5303) calc of observed to computed 5303 Å intensities should depend upon the corona temperature according to the ionization theory. But again, we do not find the expected relation since Figure 2 displays only a large scatter of points. We conclude that large deviations to hydrostatic equilibrium probably occur in the corona but it is still possible that the presence of arch structures in the lower corona makes it unrealistic to interpret a ratio of intensities integrated along different lines of sight in term of a regular density gradient, although this procedure has been universally used up to now.
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16.
Resumé La construction de théories planétaires a été entreprise au Bureau des Longitudes pour l'ensemble du système solaire. Il s'agit de théories semi-analytiques à variations séculaires ce qui signifie que les termes à longues périodes (périodes des périhélies et des noeuds comprises entre 50 000 ans et 2 000 000 d'années) ont été développés par rapport au temps. Ce sont donc des théories du type de celles de Le Verrier ou de Newcomb.Les théories de Le Verrier et de Newcomb ont une précision interne d'environ 0,1 pour les planètes inférieures. La théorie de Le Verrier-Gaillot a une précision interne de quelques secondes pour les grosses planètes. Mais les constantes d'intégration de, ces théories, la dégradation des éléments moyens due à l'imprécision des termes séculaires calculés font que la précision réelle est comprise entre quelques 0,1 et plusieurs secondes. La précision de la théorie du soleil de Newcomb, par exemple, est de l'ordre de 0,8.Les objectifs que nous nous sommes fixés sont d'atteindre en précision; pour les planètes inférieures 0,001 sur plusieurs siècles; pour les grosses planètes 0,01 sur un siècle, 0,1 sur 1000 ans.Cela implique de déterminer les perturbations au moins jusqu'a l'ordre 3 des masses pour les planètes inférieures et jusqu'à l'ordre 6 pour les grosses planètes.
Theory of the inner planets
In the contruction of planetary theories for the whole of the solar system undertaken at the Bureau des Longitudes, the aim is to obtain the precision of: for the inner planets 0.001 over several centuries; for the outer planets 0.01 over one century, 0.1 over 1000 years. To get these precisions one must compute the perturbations at least to the 3rd order of the masses for the inner planets and to the 6th order of the masses for the outer planets.We have used an iterative method which has given the perturbations up to the 6th order of the masses for the outer planets and a method working order after order with respect to the masses. Through the latter, we have built the perturbations up to the 3rd order with respect to the masses for all the planets.In the mean longitudes the precision now obtained is of 0.0005 for Mercury, 0.0030 for Venus and the Earth and 0.0047 for Mars.For Mercury, the obtained precision is about 130 meters. One has therefore to introduce besides the advance of the perihelium due to relativity, the periodic relativistic corrections, whose amplitude is over 3000 meters for that planet.We have completed our theory of the Earth-Moon barycenter by the relativistic effects, as well as by the perturbations due to the Moon. As a whole, our solution is about 100 times better than that of Newcomb. Our solution for the variablesq andp of the Earth shows that the equinox is moved by a periodic motion of 0.04 amplitude and with a period of 883 year-a thing not considered generally.the precision of our solution for the mean longitude of Mars is 0.0047, which means a real progress over the theory of Clemence. We have indeed noticed many arguments missing in that theory we last mentioned. For the years to come we intend to replace to theories of Le Verrier by these solutions in the ephemerides published by the Bureau des Longitudes. Beforehand we are going to improve the constants of integration by a comparison to numerical integrations or directly to observation.


Proceedings of the Conference on Analytical Methods and Ephemerides: Theory and Observations of the Moon and Planets. Facultés universitaires Notre Dame de la Paix, Namur, Belgium, 28–31 July, 1980.  相似文献   

17.
Résumé L'obtention de spectres coronaux fournit, après analyse, un certain nombre d'informations dont on va tenter ici de tirer quelques conclusions par confrontation avec des calculs théoriques.On discute d'abord les conditions de validité du problème. D'une part, une approche théorique délicate, où les calculs ne peuvent être conduits jusqu'à leur formulation numérique qu'au prix d'hypothéses critiquables (insistant davantage sur le problème de 1'équilibre cinétique et du vent solaire), et d'autre part, des observations sûres reflétant la complexité des structures coronales (négligeant cependant les difficultés inhérentes aux microstructures).Les calculs théoriques ont été effectués en tenant compte dans 1'évaluation des paramètres physiques fondamentaux, tels sections de chocs, des progrès récents en physique atomique. Les observations ont été effectuées à 1'Observatoire du Pic du Midi, dont les résultats d'ensemble et les problèmes divers de photométrie (calibrations précises, réductions des mesures, etc....) ont été exposés et discutés dans un article séparé.La résolution des équations classiques de l'équilibre statistique, qui se réduisent pour un ion déterminé a un système d'équations linéaires si l'on prend div = 0, fournit les valeurs des populations relatives des différents niveaux énergétiques. On a pu ainsi étudier le comportement de nombreuses raies spectrales, comprenant donc les six raies interdites observées, en fonction de la température et de la densité électronique.On cherche alors à interpréter les résultats de certaines observations. On a pu ainsi donner une explication possible de quelques anomalies constatées dans le comportement de Fe x, indicateur des centres actifs jeunes. A été mise également en évidence une corrélation assez étroite entre les intensités de Fe xi et Fe xiv, indicateurs des régions émissives à haute température. Fe xiii se révèle être par contre un indicateur sensible des régions de forte densité électronique. Le cas de Fexii est discuté à part.On tente alors de tirer des indications sur les conditions physiques existant dans les renforcements coronaux. On montre, à partir du tracé des courbes d'isorapports d'intensité, pour deux valeurs du facteur de dilution, qu'il peut y avoir un argument en faveur d'un transport de matière dans le plasma coronal. Vers 1,1 rayon solaire environ, un domaine possible de température et de densité peut être considéré: les fluctuations permises à 1'intérieur de cette région traduisent des hétérogénéités dans le renforcement coronal, principalement dans la phase jeune de développement du centre actif sousjacent. La variation de l'atmosphère étudiée avec l'altitude montre que les effets de diffusion des éléments lourds donnent un bon accord théorie-expérience entre 60000 et 90000 km du limbe.Diverses conséquences possibles sont alors envisagées au niveau des structures. On montre ainsi que les fluctuations d'intensité observées s'expliquent mieux en termes de variations de densité électronique qu'en termes de variations de température.Enfin, on étudie la non uniformité en température et en densité le long de la ligne de visée. Des conclusions non abusives peuvent être difficilement tirées; si à température (resp. densité) constante, on fait varier la densité (resp. température), les hétérogénéités en densité ne peuvent pas atteindre plus de 10% dans la zone de température envisagée. De nouveaux raffinements doivent être apportés, et on montre qu'une distribution gaussienne de la densité, jointe à une variation bicarrée de la température, le long de la ligne de visée, rendent mieux compte des observations.
Theoretical computation of the coronal spectrum have been performed and compared with observations carried out at the Pic du Midi Observatory, presented in a separate paper. The solution of the classical equations of statistical equilibrium for each of the ions led to a system of linear equations, if we take div = 0, and gives the values of the relative populations of the various energy levels. This enables one to study the behaviour of numerous spectral lines, including the six observed forbidden lines, as functions of temperature and electron density.A possible explanation can be given of some anomalies found in the behaviour Fe x, indicator of young active centers. A strong correlation between the intensity of Fe xi and Fe xiv indicates high temperature regions. Fe xiii is on the contrary a sensitive indicator of strong electronic density regions. The case of Fe xii is discussed apart. Arguments are given for the inflow of matter into coronal enhancements, derived from the study of isoratio curves of the intensity, for two values of the dilution factor. Indications for fluctuations in temperature and density are found at about 1.1 R . The fluctuations occur mainly in the young phase of development of the corresponding active centers.The incorporation of the effect of diffusion of heavy elements gives a good fit between theory and observation at altitudes between 60000 and 90000 km. The observed fluctuations of the intensities are better explained in terms of electronic density variations than of those of the temperature. The non-uniformity of temperature and density is studied along the line of sight: if at a constant temperature the density varies, the inhomogeneities in the density are always smaller than 10%. It is shown that along the line of sight a gaussian distribution of the density, together with a bi-squared variation of the temperature fits best with our observations.
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Résumé L'apparence plus diffuse en H qu'en [Nii] 6584 des arches filamentaires de NGC 650-1 est bien visible sur les photographies obtenues par Louise (1982).Cet auteur suggère que ceci est peut être le résultat de la diffusion plus rapide des ions H+ par rapport aux ions N+, ces derniers étant 14 fois plus lourds.Nous montrons cependant dans cet article que la diffusion relative des divers types d'ions est négligeable dans les nébuleuses planétaires.Les observations de Louise (1982) peuvent cependant être interprétées par un effet de structure d'ionisation, l'azote se présentant à l'état N++ dans la région la plus interne des arches filamentaires. Dans un autre domaine, les observations de Sabbadin et Hamzaoglu (1981) suggèrent que NGC 650-1 n'as pas de symétrie axiale.Nous montrons que deux causes physiques distinctes sont nécessaires pour expliquer ce résultat: la rotation du noyau qui a éjecté la nébuleuse planétaire et le champ magnétique intranébulaire, l'axe de rotation stellaire n'étant pas exactement parallèle à l'axe magnétique.
A morphological study of NGC 650-1
Long-exposure plates have been made on NGC 650-1 by Louise (1982). One of the typical features is the filamentary structure which appears sharper in [Nii] than in H.This author suggests that the H image is fuzzy because the hydrogen ions diffuse more rapidly than nitrogen ions. We show, however, that the relative diffusion of various ions is negligible in planetary nebulae. Therefore, Louise's suggestion must be rejected.The observations of this author can be interpreted by means of an ionization effect, nitrogen being present in N++ state within the most internal part of filamentary arches.On the other hand, observations made by Sabbadin and Hamzoglu (1981) suggest that NGC 650-1 does not possess axial symmetry. We show that two physical mechanisms are necessary to explain it: rotation of nucleus which has ejected the planetary nebulae, and intranebular magnetic field; the magnetic axis being not parallel to the rotation axis.
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19.
Résumé Ayant défini la notion de système lié associé à un système mécanique comportant des variables cycliques, on montre que l'ensemble des mouvements stationnaires du système coïncide avec l'ensemble des mouvements stationnaires du système lié. L'étude de la stabilité de ces mouvements montre que si le système lié est stable, il en est de même pour le système initial. La recherche des mouvements stationnaires des gyrostats fournit une application de cette étude.
A constrained system is associated with a mechanical system having cyclic coordinates. We prove that the set of steady motions of this mechanical system and the set of steady motions of the constrained system are the same. Investigating the stability of these motions, we prove that, if the constrained system is stable, then the mechanical system is also stable. As an example, we consider the problem of the relative equilibrium of gyrostat satellites.
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20.
Résumé La variation du rapport d'intensités H/D3 est étudiée dans les régions périphériques de deux protubérances d'éclat assez faibles et qui étaient suspendues au-dessus de la chromosphère. La partie supérieure des protubérances est relativement plus intense en D3, tandis qu'en dessous des protubérances le phénomène inverse s'observe. Il faut considérer que ces variations ne peuvent pas s'expliquer par des phénomènes de saturation, mais pourraient résulter du régime dynamique de la matière qui émet les radiations observées.  相似文献   

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