首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 31 毫秒
1.
Summary The variation of the Etesians within the sunspot cycle was examined according to observations made at the Athens Observatory during the period 1893–1958. This was made by the actual numbers of the Etesians days and the sunspots as by means of the smoothed values of the above elements through the formula (a+2b+c): 4. It was found that there is a single oscillation of the Etesians within the sunspot cycle and also that the correlation between sunspots and Etesians is rather high.
Résumé Dans cette étude est examinée la variation des Etésiens pendant le cycle des taches solaires basée sur les observations faites à l'Observatoire d'Athènes durant la période 1893–1958. Dans ce but ont été considerés d'une part les jours réels des Etésiens et les nombres des taches solaires et d'autre les valeurs de ces éléments calculées par la formule (a+2b+c): 4. Il a été constaté que la fréquence des Etésiens présente une simple variation pendant le cycle solaire et qu'il y a une assez grande corrélation entre les taches solaires et les Etésiens.
  相似文献   

2.
Zusammenfassung In der Untersuchung werden neue Belege dafür erbracht, daß ungefähr zwei Jahre vor den Maxima und Minima der Sonnenflecken sowie 1 1/4 bis 2 Jahre nach den Maxima die subtropischen Hochdruckgürtel verstärkt und polwärts verschoben sind, und im Sommer der Nordhalbkugel das Luftdruckgefälle von dem verlagerten Hochdruckgürtel neach dem Polargebiet gesteigert ist. Auf Grund der sommerlichen Niederschlagsmengen in Mitteleuropa und des mittleren Sommerluftdrucks in Edinburgh werden die Abschnitte des Sonnenfleckenzyklus, in denen der subtropische Hochdruckgürtel polwärts verschoben ist, genauer festgestellt und der Abstand des Anfangs und Endes dieser Abschnitte vom nächstgelegenen Sonnenfleckenextrem nicht in Jahren, sondern in Bruchteilen des Abstandes des vorausgehenden Fleckenextrems vom nachfolgenden Fleckenextrem angegeben. Dadurch finden die Abweichungen in anomalen Fleckenzyklen eine Erklärung. Schließlich wird eine Kurve der mittleren jährlichen Wachstumsringe von 10 mitteleuropäischen Fichten während eines fast 200-jährigen Zeitraums gezeigt. Aus der Kurve geht mit aller Deutlichkeit die. Unrichtigkeit der Behauptung hervor, daß in den Jahresringen alter Bäume die 11-jährige Sonnenfleckenperiode enthalten sei. Mindestens gilt das nicht für Mitteleuropa. Dagegen kommt die Doppel- oder Dreifachschwankung des Niederschlags innerhalb des Sonnenfleckenzyklus in der Kurve gut zum Ausdruck.
Summary The study presents new evidence for the fact that approximately two years prior to the occurrence of maxima and minima of the sunspots, also 1 1/4 to 2 years after the occurrence of maxima, the subtropical high-pressure belts are strengthened and shifted toward the poles, and further that the pressure gradient increases from the high-pressure belt toward the polar region in the summer of the Northern Hemisphere. Based on the summerly amounts of precipitation in Central Europe and average summerly atmospheric pressures in Edinburgh, the intervals of the sunspot cycle, during which the subtropical high-pressure belt is shifted toward the poles, are determined more precisely. The distance of beginning and end of these intervals from the nearest sunspot extreme is expressed in fractions of the distance from the preceding sunspot extreme to the following one, rather than in years. Thus, the departures in anomalous sunspot cycles find their explanation. Finally a chart shows the average annual rings of 10 Central European spruces during a period of almost 200 years. This chart clearly demonstrates the incorrectness of the assertion that the 11-years' sunspot period can be found in annual rings of old trees. This is at least not true in Central Europe. On the other hand the chart expresses well the double or triple variation of precipitations within the sunspot cycle.

Résumé La recherche nous fournit des preuves nouvelles pour le fait qu'à peu près deux ans avant les maxima et avant les minima des taches solaires, de même que 1 1/4 à 2 ans après les maxima, les zones subtropicales de haute pression sont renforcées et déplacées vers les pôles, et que le gradient de pression atmosphérique de la zone des hautes pressions déplacées vers la région polaire est plus fort dans l'été de l'Hémisphère Nord. Les intervaux du cycle des taches solaires — dans lesquels la zone subtropicale des hautes pressions est déplacée vers le pôle — sont fixés plus exactement par les quantités des précipitations dans l'Europe Centrale pendant l'été et par la pression atmosphérique moyenne d'été à Edinburgh. La distance du début et de la fin de ces intervaux de l'extrême des taches solaires le plus proche n'est pas exprimée par des ans, mais par des fractions de la distance de l'extrême des taches solaires précédent et de celui qui suit. Ce fait explique également les déviations dans des cycles des taches solaires anomaux. Enfin le diagramme des cernes moyens de dix sapins rouges de l'Europe Centrale pendant une époque de presque 200 ans est présenté. Ce diagramme nous montre nettement que l'on ne peut pas se tier à la thèse, que les cernes des vieilles arbres contiennent la période des taches solaires de onze ans. Au moins cette thèse n'est pas valable pour l'Europe Centrale. De l'autre côté ce diagramme exprime bien la double ou triple variation des précipitations au cours du cycle des taches solaires.
  相似文献   

3.
Résumé L'auteur étudie les aires des taches solaires (Umbra + Penumbra), les aires des ombres et des facules. Il montre que: 1) L'aire maximum des taches (Umbra + Penumbra) et des ombres peut être exprimée analytiquement en fonction du temps d'ascension et de termes périodiques dont le principal a une période de 8 cycles solaires, 2) L'aire moyenne et l'aire totale à chaque cycle s'expriment aussi en fonction du temps d'ascension et de termes périodiques dont les périodes sont 2 et 4 cycles solaires.
Summary The author studies the areas of the Sunspots (Umbra + Penumbra), the areas of Umbrae and Faculae. He shows: 1) That the maximum area of the sunspots (Umbra + Penumbra) and of the Umbrae can be expressed analytically as a function of the time of rise and of one periodic term of a period of 8 solar cycles. And 2) the mean area and the total area in each cycle are also expressed as a function of the time rise and of periodic terms whose periods are 2 and 4 solar cycles for the areas of the sunspots and Umbrae and 3 cycles for the total area of the Faculae.
  相似文献   

4.
Résumé

Un modèle hydrologique global a été calé sur des épisodes pluvieux de durée très variable (de un à plus de dix jours). Les épisodes pris en compte sont ceux qui sont encadrés par au moins un jour sec et ne provoquant pas de déversement du barrage. L'entrée de ce modèle comprend la pluie moyenne du bassin versant et l'indice des précipitations antérieures de Kohler & Linsley. Les expressions du modèle hydrologique du début et au cours de la saison humide, selon un seuil du cumul des pluies de la saison depuis le début de l'automne, sont de la forme non linéaire polynomiale du second ordre. Le modèle s'est montré performant dans l'évaluation de la lame ruisselée malgré le faible nombre de postes pluviométriques (un) pour la taille du bassin versant de 48 km2. L'absence d'autres postes pluviométriques sur le bassin versant n'a pas permis d'étudier la précision du modèle en considérant une pluie moyenne sur le bassin versant au lieu de la pluie uniquement au site du Barrage Ghézala.

Citation Mathlouthi. M. & Lebdi, F. (2010) Modélisation de la relation pluie–ruissellement par durée d'épisode pluvieux dans un bassin du nord de la Tunisie. Hydrol. Sci. J. 55(7), 1111–1122.  相似文献   

5.
RÉSUMÉ

L’objectif de cet article est d’analyser à l’échelle du bassin du fleuve Sénégal l’évolution de quatre classes de précipitations journalières, le nombre de jours de pluie et la durée de la saison des pluies. La méthode consiste à appliquer des tests statistiques d’homogénéité aux séries de pluies annuelles sur la période 1950–1998 pour détecter des ruptures et caractériser l’évolution de ces six variables de part et d’autre des dates de rupture. Les séries de pluie annuelle présentent une rupture entre 1966 et 1970. Les déficits de jours pluvieux de la période après rupture par rapport à celle d’avant varient entre 6,2% à Kédougou et 38,6% à Saint Louis. La classe de pluie de plus de 50 mm (P4) présente les déficits les plus importants qui varient entre 14,8% à la station de Mamou et 66,6% à la station de Nioro du Sahel.  相似文献   

6.
Summary Within each sunspot cycle the yearly means (A) of the daily sunspot areas increase faster than the corresponding sunspot numbers (R) from the minimum to the maximum of solar activity and then decrease also faster than these numbers till the next minimum. Relation (A)=16.7 (R), frequently used so far, is approximately valid only for the years in the vicinity of the sunspot maximum. Instead of that, author gives the relations: for the years preceding the sunspot maximum, for the years following the sunspot maximum, wherea andb are constants,T R is the time of rise of the corresponding sunspot cycle expressed in years, andk takes the valuek=0 for the year of maximum solar activity andk=1, 2, 3, ... for the first, second, third ... year preceding or following that of maximum solar activity. The monthly means of the daily sunspot areas show a similar variation, but in this case the ratioq=AR varies with a greater amplitude both within each sunspot cycle and from cycle to cycle. The values ofq corresponding to all months of a given year in the sunspot cycle are contained between two limits depending on the time of rise.
Résumé Les valeurs moyennes (A) des aires diurnes des taches solaires à chaque année depuis 1878 augmentent plus rapidement du minimum vers le maximum de l'activité solaire que les nombres de Wolf correspondants (R). Elles diminuent aussi plus rapidement que les nombres de Wolf du maximum vers le minimum de l'activité solaire. La relation adoptée (A)=16.7 (R) ne s'applique pas avec une approximation satisfaisante que seulement pour les années voisines celle du maximum de l'activité solaire. L'auteur propose les relations: pour les années qui précédent le maximum, pour les années qui suivent le maximum, oùa, b sont des constantes,T R le temps d'ascension du cycle correspondant exprimé en années et la parametrek prend la valeurk=0 à l'année du maximum de l'activité solaire etk=1, 2, 3 ... pour les années qui précédent et qui suivent celle du maximum. Les valeurs moyennes des aires diurnes des taches à chaque mois, suivent la même marche mais dans ce cas le rapportq=AR present des larges variations. Il oscille pourtant extre deux limites qui dependent du temps d'ascension.
  相似文献   

7.
Zusammenfassung Es wird darauf hingewiesen, daß das Maximum in der von G. Neumann gegebenen Form des Energiespektrums des Seeganges bei verschiedenen Perioden liegt, je nachdem das Spektrum auf die Wellenperiode oder auf die Wellenfrequenz bezogen wird. Diese Schwierigkeit wird vermieden, wenn man in beiden Darstellungsformen die Perioden bzw. Frequenzen logarithmisch unterteilt. Die neue Form des Energiespektrums führt auf eine Beziehung für die Gesamtenergie des ausgereiften Seeganges pro Flächeneinheit der Meeresoberfläche, in der die Windgeschwindigkeit-abweichend von Neumann-mit der 4. Potenz eingeht. Abschließend wird versucht, die im Energiespektrum auftretende Konstante zu bestimmen.
A critical note on Neumann's sea spectrum
Summary It is pointed out that the maximum of the energy spectrum of sea waves, as given by G. Neumann, occurs at different periods, depending on the spectrum being referred to the period or to the frequency of the waves. This difficulty will be avoided if in both types of representation the periods or the frequencies will be divided according to the logarithmic scale. The new form of the energy spectrum will permit to set up an equation representing the total energy of the fully developed sea per unit area of sea surface; in this equation the wind velocity — contrary to Neumann — is raised to the 4th power. In conclusion, the attempt is made to determine the constant occurring in the energy spectrum.

Note critique sur le spectre de l'état de la mer d'après Neumann
Résumé On indique que le maximum du spectre d'énergie de la mer agitée, comme G. Neumann l'a fixé, se produit dans des périodes différentes suivant que le spectre est référé à la période ou à la fréquence des vagues. On peut éviter cette difficulté si l'on applique, suivant le cas, la subdivision logarithmique aux périodes ou aux fréquences de ces deux types de représentation. La nouvelle forme du spectre d'énergie permet d'établir une équation représentant l'énergie totale de l'agitation complètement développée de la mer référée à l'unité de superficie de la surface océanique. Dans cette équation la vitesse du vent — contrairement à Neumann — est élevée à la quatrième puissance. En conclusion, on essaie de déterminer la constante présente dans le spectre d'énergie.
  相似文献   

8.
Zusammenfassung Seit langer Zeit liegt in der österreichischen Nationalbibliothek in Wien ein Karten-Unikum: der Original-Holzschnitt von Petrus Boeckels Karte von Dithmarschen wÄhrend der Unterwerfung 1559. Eine ganze Reihe von Nachbildungen bis etwa 1608 und sodann ein Kupferstich in einer — inzwischen recht selten gewordenen — Chronik von A. Vieth, 1733, haben in der Literatur zu Verwechslungen und Irrtümern Anla\ gegeben. Wahrscheinlich, weil die meisten Verfasser, bis in neueste Zeiten, das Original in Wien nie gesehen haben.Zu einer Besprechung der Originalkarte erwies es sich zuallererst als nötig, die verschiedenen Karten ganz scharf zu unterscheiden, um erneute Mi\verstÄndnisse zu vermeiden. — Im folgenden sollen die Karten einzeln behandelt und ihre Beziehungen oder AbhÄngigkeiten klargestellt werden (vgl. Tab. 1, S. 167). Dazu war es erforderlich, wo dies nur irgend ging, den Bildma\stab der BlÄtter als eines der wichtigen Unterscheidungsmittel trotz vieler schwerwiegender zeichnerischer Verzerrungen zu berechnen.Diese topographischen Verzerrungen beeintrÄchtigen aber nicht die hervorragende Leistung Boeckels, der damals in einer Zeit grö\ter Fortschritte der Kartographie eine landmesserische Arbeit zustande gebracht hat, die nicht hoch genug bewertet werden kann. Dieser Gesichtspunkt soll durch Vergleich mit zeitgenössischen Karten gewürdigt werden.
The coast of Dithmarschen as it is represented on maps edited in about 1559 and later
Summary For a long time, the National Library of Austria in Vienna is holding the unique of a map: the original wood engraving by Petrus Boeckel showing the land of Dithmarschen (Schleswig-Holstein) at the time of the conquest by King Frederic II of Denmark and the Dukes of Schleswig-Holstein in 1559. Quite a number of copies dating from the time between 1559 to about 1608 and a copper engraving, included in a chronicle — now rare — by Vieth 1733, gave rise to many confusion and mistakes in literature, apparently due to the fact that, up to the present time, most of the authors never saw the original wood engraving itself.The discussion of the original map made it necessary to first clearly discriminate between the different maps in order to avoid new misunderstandings. For this reason, the maps in question are individually discussed and their interdependency is laid open (cf. table 1, page 167). Another requirement was the computation of the maps' scales as one of the most discriminative means; this had to be done whenever such computation proved feasible and in spite of many grave topographic distortions residing in the drawing.The topographic distortions may, however, not be regarded as detrimental to Boeckel's remarkable achievement who, at an epoch of eminent progress in cartography, accomplished a survey work of great value. In support of this appreciation a comparison is made with contemporary maps.

La cÔte du pays des Dithmarses comme elle se trouve représentée sur les cartes géographiques parues en et après 1559
Résumé La Librairie Nationale de l'Autriche à Vienne possède depuis longtemps l'exemplaire unique d'une carte géographique: l'Original de la gravure sur bois par Petrus Boeckel. Cette gravure représente le pays des Dithmarses à l'époque de sa conquÊte en 1559 par le roi Frédéric II de Danemark et les ducs de Slesvig-Holstein. Toute une série de copies publiées jusqu'à 1608 environ ainsi qu'une gravure en taille douce — entretemps devenue très rare — qui fait part d'une chronique de 1733 par A. Vieth, ont donné lieu, en littérature, à des confusions et des erreurs, apparemment dues au fait que la plupart des auteurs n'ont jamais eu l'occasion de regarder de leurs propres yeux l'original à Vienne.La discussion de la carte originale exigea en premier lieu, de séparer nettement les diverses cartes pour éviter la formation d'autres erreurs. Pour cette raison, le travail actuel soumet les cartes en question à une étude individuelle (voir le tableau 1, page 167). Le calcul de l'échelle des cartes différentes s'étant montré un des moyens de distinction les plus essentiels, on s'est mis dans ce travail à ce calcul malgré le grand nombre de graves distortions au point de vue du dessin.Ces distorsions topographiques ne déprécient pas, cependant, la valeur des remarquables travaux cartographiques de Boeckel, qui a effectué des levés topographiques d'une grande utilité à une époque d'éminents progrès dans le domaine de la cartographie. Pour soutenir cet aspect, la carte de Boeckel est comparée avec des cartes géographiques contemporaines.
  相似文献   

9.
Zusammenfassung Durch die gleichzeitige Berücksichtigung aller Komponenten des Wasserhaushaltes der Ostsee wird das Zusammenwirken von Süßwasserzufuhr, Wasserstandsänderungen und Wasseraustausch mit der Nordsee einer Analyse unterzogen. Dabei wird der Einfluß der atmosphärischen Zirkulation und der Gang des Wasserstandes erklärt. Die Behandlung der vollständigen monatlichen Bilanz durch fünf Jahre zeigt, daß die Abweichungen von diesem Jahresgang erheblich sind. Der Wasseraustausch wird durch die Wasserbewegungen an der Oberfläche in den Belten und dem Sund repräsentativ wiedergegeben. Der Wasseraustausch ist intensiver als bisher angenommen. Die langjährigen Schwankungen der Haushaltsgrößen werden untersucht. Es wird gezeigt, daß die atmosphärische Zirkulation auf dem Wege über die Niederschläge und die Süßwasserzufuhr Schwankungen des Ausstroms bewirkt. Andererseits wirkt sie direkt auf den Wasserstand und durch Veränderungen der Intensität des Wasseraustausches auf den Salzgehalt ein. Eine Abschätzung des Salzhaushaltes der Ostsee wird gegeben.
On fluctuations of the water volume of the Baltic
Summary The combined effects of fresh water influx, variations of sea level, and water exchange with the North Sea are analysed by simultaneously taking into account all components of the water volume of the Baltic Sea. The influence of the atmospheric circulation and of the variations of sea level are explained. The diseussion of the complete monthly water balance over a five years' period shows considerable departures from the annual variation of sea level. The surface currents in the Great and the Little Belt and in the Sound give a representative picture of the water exchange with the North Sea which is revealed to be more intensive than it was hitherto supposed to be. The secular fluctuations of the water volume are studied. Through the medium of precipitation and influx of fresh water the atmospheric circulation causes fluctuations in the outflow from the Baltic. On the other hand, the atmospheric circulation exercises a direct influence on the sea level and — owing to variations in the intensity of water exchange — an indirect one on the salinity. The salinity balance of the Baltic is evaluated.

Sur les fluctuations du volume d'eau de la mer Baltique
Résumé En tenant compte de toutes les composantes du volume d'eau de la mer Baltique on fait l'analyse des effets réunis des affluences d'eau douce, des variations du niveau de la mer et le l'échange d'eau avec la mer du Nord. On explique l'influence de la circulation atmosphérique et de la variation du niveau de la mer. L'étude du bilan mensuel complet portant sur cinq années montre que les déviations de la marche annuelle sont considérables. Les courants de surface dans le Grand et le Petit Belt et le Sund donnent une image représentative de l'échange d'eau qui est plus intensif qu'on ne l'a supposé jusqu'ici. Les fluctuations séculaires des composantes du volume d'eau sont étudiées. On montre que par l'inter-médiaire des précipitations et de l'affluence d'eau douce la circulation atmosphérique donne lieu à des variations de l'écoulement de la mer Baltique. D'autre part, la circulation atmosphérique exerce une influence directe sur le niveau de la mer et, par suite des variations de l'intensité de l'échange d'eau, elle a une influence indirecte sur la salinité. Le bilan de la salinité est évalué.
  相似文献   

10.
Résumé

La méthode SHYREG est une approche développée pour la connaissance régionale de l’aléa pluvial (SHYREG pluie) et hydrologique (SHYREG débit) en tout point du territoire français. Elle est basée sur le couplage d’un générateur stochastique de pluie horaire et d’un modèle hydrologique. Cet article présente les résultats de la mise en ?uvre de la méthode sur 1605 bassins versants répartis sur la France métropolitaine. Sur les fréquences courantes (c.à.d. périodes de retour inférieures à 10 ans), la méthode restitue correctement les quantiles de débit de crue ajustés à une loi statistique sur les observations (loi GEV, selon le critère de Nash-Sutcliffe). Plusieurs critères sont utilisés pour valider l’extrapolation des débits à des fréquences extrêmes: (a) en la confrontant à de longues chroniques de débits observés, (b) en analysant dans le modèle hydrologique la saturation du réservoir de production synonyme de comportement asymptotique avec les pluies, et (c) en étudiant la stabilité de la méthode à travers les critères statistiques.
Editeur Z.W. Kundzewicz; Editeur associé G. Mahé

Citation Aubert, Y., Arnaud, P., Ribstein, P., et Fine, J.-A., 2014. La méthode SHYREG débit, application sur 1605 bassins versants en France Métropolitaine. Hydrological Sciences Journal, 59 (5), 993–1005.  相似文献   

11.
Comment     
Résumé

Les observations tensiométriques et piézométriques au voisinage du ruisseau des Maurets, dans le bassin du Réal Collobrier, fournissent des informations intéressantes sur les mécanismes hydrologiques en cas de crue. Des mesures au pas de temps hebdomadaire montrent une bonne corrélation entre le débit dans la rivière et le niveau piézométrique au voisinage de celle-ci. D'autre part, on observe que ce niveau ne peut monter que si la pression d'eau dans le sol avant la crue est voisines de zéro. D'autres observations tensiométriques plus détaillées ont été effectuées au pas de temps de la demi-heure. Elles montrent que seules les pluies de fortes intensités peuvent provoquer une montée rapide de la pression positive d'eau du sol (saturation), à condition que cette pression soit très voisine de zéro avant la pluie. Dans ce cas, le gradient vertical de la charge hydraulique est quasi-nul, et des zones saturées contributives apparaissent et se développent, accompagnées de forts débits de crue dans la rivière. Ainsi, même dans des conditions méditerranéennes, les crues peuvent être provoquées par le développement des surfaces saturées contributives au voisinage des rivières. Dans ce cas, sur le bassin étudié, ces surfaces saturées ont une durée de vie très courte.  相似文献   

12.
Summary American and Soviet-Russian researches within the range of the so called pole of relative inaccessibility in the polar region are the subject of the foregoing concise report which leads up to the statement that the American explorers were the first to discover the Polar Ridge. Proceeding from the Polar Ridge as such, the existence of which is not in dispute, and considering the cartographic representations by the Russian explorers, it may be convenient to remember here Harris' hypothesis of a possible existence of the so called Harris-Land and to propose to call the recently newly discovered polar ridge—in contrast to the Russian explorers—Harris Ridge instead of Lomonosov Range.
Une dorsale sousmarine polaire
Résumé Les recherches des savants américains et des explorateurs soviétiques dans le voisinage du »pÔle d'inaccessibilité relative« de la Région Polaire font l'object de ce rapport concis qui a conduit l'auteur à constater que les savants américains furent les premiers à découvrir la Dorsale Polaire. La Dorsale Polaire en soi, dont l'existence n'est pas contestée, et l'étude des représentations cartographiques des explorateurs soviétiques donnent lieu à rappeler ici l'hypothèse de Harris par rapport à la présence eventuelle de la Terre dite Harris. Il convient donc de proposer ici d'appeler cette dorsale sousmarine polaire découverte récemment — contrairement à l'habitude des savants russes—Dorsale Harris au lieu de Chaine Lomonosoff.
  相似文献   

13.
Résumé

Le changement climatique est une réalité qui affecte plusieurs variables climatiques dont les précipitations. Néanmoins, son impact sur les évènements extrêmes et en particulier sur les pluies journalières extrêmes n'est pas encore certain car peu de travaux y ont été consacrés en Afrique de l'Ouest. Dans ce contexte, il a été proposé de détecter d'éventuels tendances et ruptures dans les propriétés statistiques (moyenne, variance) des pluies journalières extrêmes à l'aide de tests statistiques locaux et régionaux. Pour détecter ces changements, les indices caractérisant la pluie maximale journalière annuelle (PJmaxan), le nombre annuel de jours de pluie dépassant 50 mm (NJsup50) et la contribution des pluies dépassant 50 mm dans les cumuls annuels (R(PJsup50/Pan)) ont été définis. L'analyse de 44 postes pluviométriques en Côte d'Ivoire sur la période 1942–2002 ne montre pas de changement généralisé ni en moyenne, ni en variance. Toutefois, en subdivisant la Côte d'Ivoire en régions climatiques homogènes, des tendances à la baisse ont été observées dans les régions IV (au Nord) et II (au Sud-Est).

Editeur Z.W. Kundzewicz; Assistant editeur G. Mahé

Citation Goula, A.B.T., Gneneyougo Soro, E., Kouassi, W. et Srohourou, B., 2012. Tendances et ruptures au niveau des pluies journalières extrêmes en Côte d'Ivoire (Afrique de l'Ouest). Hydrological Sciences Journal, 57 (6), 1067–1080.  相似文献   

14.
Zusammenfassung Es wird eine anwendbare Verallgemeinerung der Konzeptionen angestrebt, nachdenen man die Verdunstung auf dem Meere aus dem atmosphärischen Wasseraustausch bestimmt. Dabei ergeben sich einige Hinweise auf mehrere übliche aber kaum erkannte Vernachlässigungen. Unteranderem werden die Effekte der Druckänderungen sowie — durch Anwendung abgewogener Mittelwerte — die Wirkung des fluktuativen Massentransports in Rechnung gestellt. Jene werden meist in Makroturbulenzbetrachtungen, diese in Mikroturbulenzbetrachtungen zum Feuchteaustausch vernachlässigt, obgleich sie die Größenordnung der berechneten Verdunstungswerte erreichen und beispielsweise zur Erklärung der bei labiler Schichtung beobachteten deutlichen Verschiedenheit der gebräuchlichen Austauschkoeffizienten für Wasserdampf und Wärme beitragen können.
Extended basic equations concerning the estimation of evaporation on the ocean from small- and large-scale exchange of moisture
Summary This paper aims at an applicable generalisation of the conceptions adapted to the estimation of evaporation on the ocean from theaustausch of water in the atmosphere. It gives some hints to several common but scarcely known neglects. Among others, the effects of the variation of pressure, and — by applying weighted means — those of the fluctuative transport of mass are taken into account. Usually the first effects are neglected in considerations on large-scale exchange of atmospheric water, the second ones in small-scale considerations although they may be of the same order of magnitude as the computed evaporation and may be able, for instance, to support an interpretation of the distinct inequalities of the usual eddy transfer coefficients of water vapour and heat observed in unstable lapse conditions.

Equations fondamentales étendues pour dériver du flux micro- et macroturbulent de l'humidité l'évaporation à la surface de la mer
Résumé Le but de ce travail est de trouver une généralisation applicable des conceptions employées à dériver de l'échange atmosphérique de l'eau l'évaporation à la surface de la mer. Au cours de ces recherches on rencontre plusieurs indications de diverses négligences en usage qui, cependant, ne sont guère reconnues. Entre autre, on tient compte des effets dus aux variations de la pression atmosphérique et — en appliquant des moyennes pondérées — on considère également l'action du transport fluctuatif de la masse. Conventionnellement, le premier effet est négligé dans des considérations à base macroturbulente pendant que le deuxième effet est laissé de côté en cas de la diffusion microturbulente, bien que ces deux effets puissent atteindre la même ordre de grandeur que l'évaporation calculée et qu'ils puissent, par exemple, aider à expliquer les diversités distinctes des coefficients d'échange de l'humidité et de la chaleur observées quand la répartition des masses suivant la verticale est instable.


Für Anregungen und die Möglichkeit zur Bearbeitung der diskutierten Fragen ist der Verfasser Herrn Professor Dr. Hermann Flohn zu Dank verpflichtet.  相似文献   

15.
Résumé Les moyennes mensuelles des pluies publiées parM.F. Eredia pour 3.601 stations ont servi à l'extraction de la composante annuelle par la méthode des combinaisons linéaires d'ordonnées de M. et MmeH. Labrouste. L'examen de la répartition géographique de la phase de cette composante fait ressortir les différentes influences du relief continental et de l'orientation des côtes sur la mise en place dans le temps de cette fraction permanente des pluies.
Summary The monthly average values of rain, published byF. Eredia for 3.601 stations enabled the autors to calculate the annual component by the linear combinations method (established by M. and MmeH. Labrouste). The geographical repartition of the phase of this component shows the different bearings of continental relief and coast orientation on time-distribution of this permanent fractions of rain.
  相似文献   

16.
Zusammenfassung In Anwendung eines einfachen numerischen Zweischichtenmodells auf den Nordteil des Arabischen Meeres wurden Massentransporte, Oberflächen- und Sprungschichtlage unter Vorgabe monsunaler Wind- und Luftdruckverteilungen berechnet. Das Modell basiert auf den vertikal integrierten Kontinuitäts- und Bewegungsgleichungen. Für beide Monsune ergeben sich Massentransportrichtungen und Sprungschichtlageänderungen in qualitativer Übereinstimmung mit den Beobachtungen:Im Falle des SW-Monsuns resultiert eine beachtliche Anhebung der Sprungschicht nicht nur vor der arabischen Küste, sondern in geringerem Maße auch vor der indischen Küste im Bereich starker südöstlicher Oberflächenströmung. — Das Modell für den NE-Monsun enthält den südwestlichen Ausstrom der Oberschicht vor der arabischen Küste ebenso wie den südöstlichen Ausstrom vor der indischen Küste.
A numerical approximation of the monsoon-generated circulation in the Arabian Sea
Summary By applying a simple two-layered numerical model to the northern part of the Arabian Sea, the mass transports and the elevations of the sea level and the pycnocline have been computed from prescribed monsoonal wind and air pressure distributions. The model is based on the vertically integrated (primitive) equations of motion and continuity; it starts with the ocean at rest. For both the monsoons it gives the mass transports and the elevations in qualitative agreement with known observations:In the case of SW-monsoon we get a considerable elevation of the pycnocline not only in front of the Arabian shore but also a slightly smaller one within the branch of the relatively strong south-eastern surface current that develops near the Indian coast.—The model of the NE-monsoon contains the south-westerly outflow of the surface layer in front of the Arabian coast as well as its south-easterly outflow in front of the Indian coast.

Une approximation numérique des circulations dues aux moussons dans la mer d'Arabie
Résumé Au moyen d'un simple modèle numérique à deux couches sur la partie Nord de la mer d'Arabie, on a calculé les transports de masses, et les positions des couches superficielles et de transition à partir des distributions de pression atmosphérique et de vent de mousson. Le modèle s'appuie sur l'intégration verticale des équations de continuité et de mouvement. Pour les deux moussons il résulte que les directions des transports de masse et les modifications de position de la couche de transition sont en concordance qualitative avec les observations:Dans le cas de la mousson de SW on trouve une remontée sensible de la couche de transition non seulement devant la côte arabe, mais aussi, dans une moindre mesure, devant la côte indienne dans la zone de fort courant de surface portant au SE. — Le modèle pour la mousson de NE contient le flux de sortie SW de la couche superficielle devant la côte arabe ainsi que le flux de sortie SE devant la côte indienne.
  相似文献   

17.
Résumé Dans le premier Chapitre, l'auteur détermine expérimentalement l'altitude à laquelle se manifeste l'interruption aubale de la propagation des ondes longues (27 kc/sec) émanant des sources orageuses troposphériques, en analysant les enregistrements du radiogoniographe à secteur étroit de l'Institut Suisse de Météorologie. Les différences de temps entre les interruptions des enregistrements des foyers et le lever astronomique du soleil à Zurich, pris comme temps de référence, sont groupées par direction azimutale entre 160° et 300° et portées en fonction de l'azimut du soleil à son lever à Zurich. A l'aide des Tables Crépusculaires deLugeon, l'auteur localise dans l'espace des pointsM tels que les différences respectives des temps entre les levers astronomiques du soleil à chacun des dits points et à Zurich donnent des courbes (par direction azimutale et en fonction de l'azimut du soleil à son lever à Zurich) semblables aux fonctions empiriques (mesures). Il en résulte que l'interruption de la propagation coïncide sensiblement avec le moment du lever du soleil à l'altitude de 75 km sur la trajectoire de l'onde, compte tenu du retard de l'ordre de 10 min dû à la zone d'influence de la couche d'ozone. L'altitude de cette zone d'influence est évaluée à 28 km. Les positions moyennes des foyers orageux ont été déduites de la distribution des nombres de jours d'orages dans les deux hémisphères. Pour terminer, l'auteur vérifie si ce modèle est conforme à la réalité, en faisant intervenir les distances angulaires des foyers.Le deuxième Chapitre traite du problème du «satellite» ou du «petit nez» qui apparaît souvent sur les enregistrements des compteurs d'impulsions (atmoradiographe) après le lever du soleil. La théorie proposée est fondée sur une conception géométrique simple de la propagation, compte tenu des résultats du premier Chapitre. Elle est ensuite appliquée à dix cas particuliers, dont les enregistrements ont été obtenus comme suit: Quelques heures avant le lever du soleil, les cadres récepteurs du radiogoniographe à secteur étroit sont bloqués dans une direction «privilégiée» et les impulsions reçues sont commutées sur l'atmoradiographe. Les enregistrements obtenus permettent d'illustrer de façon satisfaisante le processus de la propagation transitoire, les positions des foyers étant connues d'autre part. Parfois, deux ou trois «satellites» ou «nez» sont discernables; tous ont pu être justifiés. L auteur conclut que le «satellite» se forme au moment où la dernière réflexion se produit sur la coucheD, toutes les autres ayant encore lieu sur la base de la régionE dans la partie obscure. Le satellite se termine quand les rayons ionisants du soleil coupent la trajectoire de l'onde aux environs de 75 km, dans le voisinage de l'avant-dernier point de réflexion.Dans le troisième Chapitre, l'auteur améliore le modèle initial développé dans les deux premiers, en l'adaptant aux connaissances actuelles de l'ionosphère. La densité électronique devant être envisagée comme une fonction continue de l'altitude, l'auteur montre que si les réflexions diurne et nocturne obéissent aux lois de la réflexion métallique, on doit assister à un phénomène de réfraction sur la surface du lieu des levers des rayons ionisants du soleil dans la région séparant les couchesD etE, le modèle initial conservant malgré cette nouvelle conception toute sa raison d'être.
Summary In the first Chapter, the author determines experimentally the altitude at which occurs the early morning fading of the propagation of the long waves (27 kc/sec) originating in the tropospheric thunderstorms, on the basis of the records of the narrow sector radiogoniograph of the Swiss Meteorological Office. The time differences between the interruptions of the recordings of the thunderstorm sources and the astronomical sunrise at Zurich — adopted as reference time — are grouped according to the azimut between 160° and 300° and represented as function of the azimut of the rising sun at Zurich. By means ofLugeon's «Tables Crépusculaires», the author searches in space for pointsM being such that the respective time differences between the astronomical sunrise at each of them and at Zurich give curves which are comparable to the empirical functions defined above. It follows that the interruption of the propagation coincides sensibly with the time of sunrise at the altitude of 75 km on the wave trajectory, bearing in mind the delay of about 10 minutes due to the active part of the ozone layer; the height of this active part has been found at about 28 km. The average positions of the thunderstorm sources have been deduced from the distribution of the numbers of thunderstorm days all over the world. Finally, the author verifies that this model corresponds to the reality, taking account of the angular distances of the sources.The second Chapter deals with the sun-rise-effect — particularly the «nose» —often to be seen on the records of the impulse counter (atmoradiograph). The theory exposed is based upon a simple geometrical model of the propagation and on the results of First Chapter. This theory is then applied to 10 special cases, the recordings of which have been obtained as follows: Some hours before sunrise, the reception frames of the narrow sector radiogoniograph are stopped in a «privileged» direction and the received impulses are fed into the atmoradiograph. The obtained recordings are in satisfactory accord with the process of the «transitory» propagation, provided that the sources are known. Sometimes, two or three «satellites» or «noses» are to be seen; they have all been explaned. The author is lead to the conclusion that the «nose» is beginning in the very moment, when the last reflection occurs on theD-layer, all the others taking place on the lower part of theE-region in the dark zone. The «nose» ends when the first ionising sunrays intersect the wave trajectory at about 75 km in the neighbourhood of the last but one reflection point.In the third Chapter, the author improves the first model developped in the Chapters I and II, adapting it to the present knowledge of the ionosphere. The electronic density having to be considered as a continuous function of the height, the author shows that there must be a phenomenon of refraction on the surface formed by the first ionising rays of the rising sun in the region between theD- andE-layers, if the reflections obey to the law of metallic reflection. The first model keeps its whole value in spite of the new conception.

Zusammenfassung Im ersten Kapitel bestimmt der Autor die Höhe, in welcher der Unterbruch in der Ausbreitung langer Wellen (27 kHz) beim Sonnenaufgang stattfindet. Dabei handelt es sich um Wellen, die von troposphärischen Gewitterherden ausgehen; die Untersuchung stützt sich auf die Registrierungen des Radiogoniographen mit schmalem Sektor der Schweizerischen Meteorologischen Zentralanstalt. Die Zeitdifferenz zwischen den Unterbrüchen der Herdregistrierungen und dem astronomischen Sonnenaufgang in Zürich, letzterer als Ausgangspunkt der Zeitmessung genommen, werden nach Azimuth-Werten zwischen 160 und 300 Grad gruppiert und als Funktion des Azimuths der Sonne beim Sonnenaufgang in Zürich, aufgetragen. Mit Hilfe derLugeon'schen Dämmerungstafeln sucht der Autor PunkteM im Raum auf, derart, dass die Zeitdifferenz der Sonnenaufgänge in jedem von ihnen und in Zürich Kurven ergeben, die mit den Messwerten vergleichbar sind (Zeitdifferenz als Funktion des Sonnenazimuths bei Sonnenaufgang in Zürich, gruppiert nach der Empfangsrichtung). Es ergibt sich daraus, dass der Ausbreitungsunterbruch fühlbar mit dem Moment des Sonnenaufgangs in 75 km Höhe auf dem Wellenstrahl zusammenfällt. Hierbei ist die Verzögerung in der Grössenordnung von 10 Minuten berücksichtigt, die durch die Einflusszone der Ozonschicht (deren Höhe zu 28 km ermittelt wurde) bedingt ist. Die mittleren Gewitterherdlagen wurden aus der Verteilung der Anzahl Gewittertage auf beiden Hemisphären ermittelt. Zum Schluss prüft der Autor nach, ob dieses Modell der Wirklichkeit entspricht, indem er die Winkeldistanzen der Herde einführt.Das zweite Kapitel befasst sich mit dem Problem der in den Registrierungen des Impulszählers (Atmoradiograph) häufig nach Sonnenaufgang auftretenden als «Satellit» bezeichneten kleinen Nase. Die vorgeschlagene Theorie gründet sich auf eine einfache geometrische Auffassung der Ausbreitung und stützt sich auf die Ergebnisse des ersten Kapitels. Sie wird sodann auf 10 besondere Fälle angewendet, deren Registrierungen folgendermassen erhalten wurden: Einige Stunden nach Sonnenaufgang werden die Rahmenempfangsantennen des Radiogoniographen in einer «bevorzugten» Richtung festgelegt und die eingehenden Impulse werden auf den Atmoradiographen geleitet. Die erhaltenen Registrierungen bestätigen in befriedigender Weise, den Ausbreitungsvorgang voraussgesetzt, dass die Lage der Herde bekannt ist. Sehr oft sind zwei oder drei kleine «Satelliten» oder «Nasen» zu unterscheiden, alle konnten als zutreffend nachgewiesen werden. Der Autor schliesst daraus, dass der Satellit sich in dem Augenblick bildet, indem die letzte Reflexion an derD-Schicht auftritt, während alle andern noch im beschatteten Teil der Basis derE-Schicht liegen. Der «Satellit» hört auf, wenn die ionisierenden Sonnenstrahlen in der Umgebung des vorletzten Reflexionspunktes den Wellenstrahl (bei ungefähr 75 km Höhe) schneiden.Im dritten Kapitel wird das bisher entwickelte Modell mit Rücksicht auf die Struktur der Ionosphäre, soweit sie bis heute bekannt ist, verfeinert. Da sich die Elektronendichte in Funktion der Höhe stetig ändert, folgert der Autor, dass eine Brechung zwischen derD- undE-Schicht an der Schattengrenze der ionisierenden Sonnenstrahlen auftritt, vorausgesetzt, dass sowohl nachts wie tagesüber die Gesetze der metallischen Reflexion anwendbar sind. Dabei behält das ursprüngliche Modell trotz dieser neuen Interpretation seine Gültigkeit im wesentlichen bei.

  相似文献   

18.
Summary The measured concentrations of137Cs in the water of the North Sea gained during the years 1977 to 1982 largely confirm the results found in the preceding years (Fig. 1). After a distinct maximum in 1978 — brought about by a particularly strong influx during 1977 — the total quantity of137Cs present in the North Sea has reced, to around half of these peak values by the year 1982 (Table 1).On the way from the Sellafield Works near the Irish Sea as far as into the North Sea, a strong shift of the137Cs:90Sr ratio in favour of the90Sr can be observed.By following the temporal course of that ratio at different measurement points, a transport time can be deduced of around 3 years between the Sellafield Works and the Pentland Firth; a further year would be needed to reach into the southeastern North Sea.The ratio Cs:Sr furthermore permits, in the southeastern North Sea, a good distinction between the watermasses comming from the north into the North Sea with respect to those that come through the Channel from the South. These masses practically flow side by side until about the entrance to the Skagerrak.The vertical distribution of the137Cs shows, as is to be expected, seasonally conditioned differences. However, effects also occur, which — on the basis of the data available to date — do not yet permit a clear explanation.The90Sr, as well as the239+240Pu, present in the North Sea show an analogous distribution scheme compared with that of the137Cs. Their concentrations lie far below that of the137Cs (90Sr 17.5%;239+240Pu 0.03%).Tritium, on the other hand — with essentially higher concentrations — shows a completely different distribution, because it is principly introduced via the freshwater flowing in from the land.
Verteilung und Gehalt verschiedener künstlicher Radionuklide im Wasser der Nordsee in den Jahren 1977 bis 1981 (ergänzt durch einige Ergebnisse von 1982 bis 1984)
Zusammenfassung Die in den Jahren 1977 bis 1982 gewonnenen Meßdaten der Aktivitätskonzentrationen von137Cs im Wasser der Nordsee bestätigen weitgehend die in den vorhergehenden Jahren gefundenen Ergebnisse (Fig. 1) Nach einem deutlichen Maximum im Jahre 1978 — hervorgerufen durch eine besonders starke Zufuhr im Jahre 1977 —ist die in der Nordsee insgesamt vorhandene Menge an137Cs bis zum Jahre 1982 wieder auf rund die Hälfte zurückgegangen (Tab. 1).Auf dem Weg von den Sellafield Works an der Irischen See bis in die Nordsee ist eine starke Verschiebung des137Cs:90Sr Verhältnisses zugunsten des90Sr zu beobachten.Aus dem zeitlichen Verlauf dieses Verhältnisses an verschiedenen Meßpunkten ergeben sich Transportzeiten zwischen den Sellafield Works und dem Pentland Firth von rund 3 Jahren; bis in die südöstliche Nordsee wird ein weiteres Jahr benötigt.Das Verhältnis Cs:Sr erlaubt außerdem in der südöstlichen Nordsee eine gute Unterscheidung der aus der Nordsee bzw. durch den Kanal von Süden kommenden Wassermassen, die praktisch nebeneinander her bis etwa zum Beginn des Skagerraks fließen.Die Vertikalverteilung des137Cs zeigt, wie zu erwarten ist, jahreszeitlich bedingte Unterschiede. Es treten aber auch Effekte auf, die sich anhand der bisher vorliegenden Daten noch nicht eindeutig erklären lassen.Das in der Nordsee vorhandene90Sr sowie das239+240Pu zeigen ein analoges Verteilungsschema verglichen mit dem des137Cs. Ihre Konzentrationen liegen weit unter der des137Cs (90Sr 17,5%,239+240Pu 0,03%).Das Tritium zeigt bei wesentlich höheren Konzentrationen dagegen eine völlig andere Verteilung, da seine Hauptzufuhr im wesentlichen über das von Land her zufließende Süßwasser erfolgt.

Distribution et teneur de differents radionucleides artificiels, dans les eaux de la Mer du Nord entre les années 1977 et 1981 (completes par quelques résultats de 1982 à 1984)
Résumé Les mesures de concentration du Césium 137 dans les eaux de la Mer du Nord, acquises entre les années 1977 et 1982, confirment largement les résultats obtenus au cours des années précédentes. Après un net maximum en 1978 — occassionné par un apport particulièrement fort en 1977 — la quantité totale de Césium 137 présent en Mer du Nord a régressé,jusqu'en 1982, aux alentours de la moitié de ces valeurs maximales.Il a pu être observé une modification importante du rapport Césium 137/Strontium 90, en faveur du Strontium 90, sur le trajet de Sellafield Works prés de la Mer d'Irlande jusqu'à la Mer du Nord.En suivant l'évolution temporelle de la valuer de ce rapport en différents points de mesure, on peut en déduire une durée de transport d'environ 3 ans entre Sellafield Works et Pentland Firth; une année supplémentaire est ensuite nécessaire pour pénétrer en Mer du Nord Sud-orientale.En Mer du Nord Sud-orientale, le rapport Césium/Strontium permet en outre d'effectuer une nette distinction entre les masses d'eau pénétrant respectivement par le Nord dans la Mer du Nord et celles pénétrant par le Sud et venant de la Manche. Ces masses d'eau s'écoulent pratiquement côte à côte jusqu'à l'entrée du Skagerrak.Comme l'on pouvait s'y attendre, la distribution verticale du Césium est différente suivant les saisons. Cependant il apparaît également des effects qui, sur la base des données disponibles à ce jour, ne s'expliquent pas encore clairement.Le Strontium 90 aussi bien que le Plutonium 239+240 présent dans la Mer du Nord, montrent une distribution comparable, analogue à celle du Césium 137. Leurs concentrations sont bien inférieures à celle du Césium 137 (Strontium 90 17,5%; Plutonium 239+240 0,03%).Le tritium d'autre part, — avec des concentrations significativement plus fortes —montre une distribution complètement différente, due principalement au fait qu'il est introduit par l'intermédiaire de l'écoulement d'eau douce provenant de la terre.
  相似文献   

19.
Résumé En utilisant un radar fonctionnant sur une longueur d'onde de 3.2 cm et dont le faisceau explorateur horizontal a une ouverture de 3 degrés, on a constaté parfois la présence d'échos au dessus de la mer, à des distances comprises entre 5 et 35 milles marins, par temps clair, en l'absence complète de nuages.Ces échos se présentent sous la forme de rubans sinueux ou d'amas. Ils apparaissent pendant des durées variables entre quelques minutes et quelques heures. Ils sont plus fréquents pendant l'été et n'ont pas jusqu'ici été observés en hiver.Ces échos anormaux sont toujours accompagnés d'échos de vagues proches. Lorsqu'on les observe au-delà de l'horizon, il arrive qu'on observe également des obstacles tels que des bateaux ou des iles dans des directions très voisines, mais rien au-delà. Ils seraient dus à une réfraction super-normale du faisceau hertzien et à une réflexion sur les vagues. On discute les conditions de température, pression et surtout d'humidité, qui conduisent à une loi de distribution verticale de l'indice susceptible de produire la superéfraction. On considère même la loi de distribution qui aboutit à une focalisation du faisceau telle qu'elle est parfois observée.
Summary By using a radar (3.2 cm wave-length) with an horizontal beam having a 3° aperture cone, peculiar echoes have been observed above the sea surface, coming from ranges between 5 and 35 nautical miles, for clear weather, without any clouds. These echoes affect the form of sinuous ribbons or of clusters. They last for various lengths of time, from a few minutes to a few hours. They are more frequent during summer and, until now, they were never observed in winter. These unusual echoes are always accompanied with sea echoes from proximate waves. When they are coming from beyond the horizon, it may happen that targets such as ships or islets lying in nearly the same direction are observed, but nothing is observed beyond these echoes. They are ascribed to supranormal refraction of the hertzian beam together with reflection on the sea waves. Temperature, pressure and chiefly humidity conditions leading to a vertical distribution law of the refraction index consistent with superrefraction are discussed. The distribution law leading to the focusing of the beam which sometimes occurs is also considered.


Sujet traité dans une conférence faite parM. E. Vassy le 10 Avril 1953 à la lère Assemblée de la «Società Italiana di Geofisica e Meteorologia» (Genova, 10–12 Avril 1953).

Lieutenant de VaisseauJean Broc, Musée Océanographique deMonaco (Monte-Carlo).  相似文献   

20.
Résumé L'auteur décrit une combinaison de l'aérotriangulation en bloc — le bloc étant obtenu par raccordement de bandes — et de l'orthophotoplan. Ce procédé topographique largement automatisé est convenable pour un terrain montagneux et mal accessible (Fig. 1; Tab. 1, 2). L'auteur prouve par une analyse théorique de même que par des travaux expérimentaux et de routine qu'il est possible de contrôler le gauchissement des blocs à base de leurs écarts, constatés sur le recouvrement des bandes de clichés et que le nombre des points de repère est réduit au minimum (Fig. 2, 3; Tab. 1).

Herrn Prof. Dr. Frantiek Fiala zum 90-sten Geburtstag gewidmet  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号